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Fort de ses 70 ans de solidarité populaire et d’aide alimentaire, le Secours populaire témoigne, à l’heure où se pose le douloureux problème du gaspillage alimentaire.
L’aide alimentaire est indispensable : il s’agit d’une véritable porte d’entrée vers un accompagnement global. 2 632 200 personnes en difficulté ont été aidées en 2013 grâce au maillage décentralisé du Secours populaire qui compte 1 256 permanences d’accueil et de solidarité à travers la France. 1 587 200 personnes ont été soutenues sur le plan alimentaire, ce qui équivaut à 122 446 000 repas distribués.
L’interdiction de jeter les denrées alimentaires est accueillie comme une bonne mesure. Cependant, il faut permettre aux associations de recevoir des produits diversifiés et de qualité pour répondre au besoin d’équilibre alimentaire des familles aidées.
Le Secours populaire reste prudent quant à l’obligation faite aux grandes surfaces de donner les invendus dans la mesure où de nombreux partenariats locaux sont déjà noués avec les structures d’accueil. Il convient, en toutes circonstances, de privilégier le dialogue de proximité entre les grandes surfaces et les associations d’aide aux plus démunis.
Le SPF tient à souligner l’importance que revêt le principe de défiscalisation dans le circuit de l’aide alimentaire.
Par ailleurs, l’association s’attache à varier les sources d’approvisionnement alimentaire en travaillant aussi avec l’industrie agroalimentaire et le monde agricole.
Enfin, le Secours populaire tient à rappeler les coûts logistiques engendrés par l’aide alimentaire et réaffirme la nécessité de soutiens financiers.
Les dons peuvent être envoyés au Secours populaire français,
dans tous les départements ou au
9/11, rue Froissart BP 3303
75123 Paris Cedex 03 - T/ 01 44 78 21 00
Et sur le site internet : www.secourspopulaire.fr
Le rapport étudie l’émergence des monnaies locales complémentaires et formule une série de propositions pour en encourager le développement à l’échelle locale :
Le rapport étudie l’émergence de ces monnaies et formule une série de propositions pour en encourager le développement à l’échelle locale. Selon ses auteurs, les MLC permettent :
De localiser les transactions, en privilégiant l’usage local de revenus tirés d’une production locale
De dynamiser les échanges au bénéfice des populations
De transformer les pratiques et les représentations de l’échange, notamment en orientant la consommation de manière à la rendre plus « responsable »
Ces monnaies sont déjà reconnues par la loi relative à l’économie sociale et solidaire (ESS) du 31 juillet 2014. Elles peuvent servir de titres de paiement, si elles sont émises par des entreprises de l’ESS et qu’elles respectent l’encadrement fixé par le Code monétaire et financier.
Le rapport : 1ère partie 2ème partie