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« Une seule consigne : n'attendez pas les consignes !»


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Il se passe incontestablement quelque chose. Pas seulement dans les sondages. Nous le vérifions au travers de la foule massive qui participe à nos meeting, de ces témoignages de soutien que nous recevons quotidiennement, de ces mots prononcés au détour d'un échange " vous m'avez rendu la fierté d'être de gauche " ou encore " enfin j'ai repris gout à militer ", du nombre également de ceux qui décident de s'engager pour le Front de gauche et son candidat Jean Luc Mélenchon...

Il se passe quelque chose et nous le ressentons d'autant plus fortement que nous sommes à l'origine de cette évolution : par notre refus de capituler face aux marchés ; en avançant face à la crise, une autre voie que l'austérité ; par notre présence sur tous les terrains, et en ne lésinant sur aucuns efforts...

Nous avons décidé de préempter le terrain de la gauche et commencé à le faire, à tel point qu'aujourd'hui le candidat PS est obligé de s'engager à son tour contre la finance toute puissante. Menons la confrontation projet contre projet!

A tel point que Nicolas Sarkozy, dimanche ne pouvait plus se contenter de rester dans ses habits de président et a dû endosser ceux de porte-parole du patronat, du CAC 40 et du capitalisme international, jusqu' à tenter d'user de ces trois derniers mois de présidence pour porter à son paroxysme, son entreprise de dynamitage du socle social et d'asservissement des milieux populaires. Ainsi l'augmentation de 1,6% de la TVA qui va impacter directement les petits ou sa décision d'en finir avec les entreprises en réduisant à néant la notion de négociation sociale sont manifestes de sa volonté de placer notre peuple dans une situation irréversible. Battons-le socialement, politiquement, idéologiquement !

Plus fort que la haine sociale, la solidarité ! Février commence comme a fini janvier : le temps de la mobilisation sociale revient à l'instar des personnels de l'éducation nationale mardi dans la rue ou des militants CGT en meeting à Paris et debout dans tout le pays pour exiger la retraite a 60 ans et à taux plein.

Et pour le Front de gauche ? Amplifier ces mouvements en leur donnant une perspective, être à gauche cette force en France qui nous permettra comme en 2005 de dire majoritairement NON à la logique de la concurrence libre et non faussée et constituera une dynamique pour toute l'Europe.

Poursuivons le débat et l'action. Nous sommes la gauche!
 

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