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L'EDITO

edito.jpg.pngdu 1er novembre 2011

 

 

   Qui paie LA DETTE...

 

...enrichit les banquiers

 

Face à la colère du peuple grec, le Premier ministre Papandréou a annoncé un référendum. Il pensait ainsi calmer la population et la contraindre à se plier aux décisions prises, voire se « sauver » lui-même dans tous les sens du terme... Pourtant, les Bourses plongent aussitôt et les dirigeants de la droite se disent trahis. Donner la parole au peuple et donc permettre des discussions, voilà, pour eux, une faute impardonnable !

Justement, discutons de toutes les voies possibles pour ne plus subir la « dette ». Si des centaines de milliers de personnes l'exigent ensemble, nous pouvons imposer des mesures immédiates :

Premièrement, que soit rendue publique les listes des organismes prêteurs de la Dette en France comme en Grèce et dans les autres pays.

Deuxièmement, que soient précisés le montant de chacun de ces crédits, les dates des prêts et le total des intérêts déjà versés.

Voilà qui permettrait d’y voir plus clair, en particulier pour les banques et les grandes sociétés d’assurance.

Troisièmement, que soient fournis la liste de leurs profits, des bonus qu’elles ont versés et des sommes distribuées à leurs actionnaires.

Quatrièmement, que soit rappelé ce qui leur a déjà été prêté ou versé pour la «  recapitalisation » et ce qu’elles ont remboursé (et avec quel taux d’intérêt).

Même si ce sont des fonds publics (les impôts payés par le plus grand nombre) qui ont été utilisés pour réduire leurs pertes privées, ces montants restent pourtant protégés par le « secret bancaire ».

On appellerait cela, en langage « moderne », un audit et un moratoire sur les dettes !

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