Sidérant cette irruption du peuple en Tunisie. Chapeau ! Soyons  solidaires, tout simplement, sans tortiller.Avec une pensée amère pour  tous les responsables politiques, notamment ceux du gouvernements, et  bien des commentateurs de la vie publique française et européenne qui  nous ont, pendant des années, fait l’éloge du “miracle” tunisien et de  leur “ami” Ben Ali. Leur changement de ton est bien tardif.Que la  révolte du Jasmin sème de belles et grandes perspectives… Prenons-en de  la graine.Hasta siempre, etc.Clémentine Autain