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hautes-alpes - Page 13

  • Le Front de Gauche, une progression impressionnante dans les Hautes Alpes.

     

    Comparaison entre 1er tour Election Présidentielle 2012 et Election présidentielle 2007

     

     

    2012

     

    2007

    Différence

    Melenchon

    12175

    Buffet/ Bové

    3785

    8390

    Le Pen

    15359

    Le Pen/ De Villiers

    9740

    5619

    Joly

    3147

    Voynet

    1805

    1342

    Hollande

    21248

    Royal

    21385

    -137

    Poutou/Arthaud

    1640

    Besancenot/Laguiller/Schivardi

    4825

    -3185

    Sarkozy

    22655

    Sarkozy

    26774

    -4119

    Bayrou

    8559

    Bayrou

    17289

    -8730

     

    Là est la réalité. Le fait politique de ce premier tour est bien la spectaculaire progression du Front de Gauche lors de ce premier tour. Etrangement, les media locaux sont restés muets sur la question ! Dans le département la droite (FN/UMP/MODEM) a perdu 7230 voix, la gauche (EELV,PS,FdG, Ext G) en a gagné 6410. Mais au sein de la gauche seuls le Front de Gauche et EELV progressent ! 

     

  • ET MAINTENANT ?

    Tract du 24 avril verso.JPG

  • PROPOSITIONS du FRONT de GAUCHE pour les HAUTES-ALPES

    meeting_front_gauche-11.JPGLIRE et TELECHARGER les propositions que nous allons présenter durant la campagne électorale des législatives. Elles sont à débattre, à enrichir et compléter dans une démarche citoyenne et ouverte.

    Franck et Jean-Claude

  • 1er mai 2012 : satisfaire les revendications pour le progrès social

    005.jpgDans cette période de crise en France et en Europe, les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires des Hautes-Alpes affirment leur volonté de faire du 1er mai 2012, journée de solidarité internationale du monde du travail, une forte journée de mobilisation, de manifestations et d’expressions revendicatives pour :
    --‐ faire entendre les priorités sociales et les préoccupations des salariés, des demandeurs
    d’emploi, des jeunes et des retraités, en France et en Europe ;
    --‐ exprimer la défense des droits fondamentaux et des libertés partout dans le monde ;
    --‐ faire reculer la xénophobie, le racisme et l’antisémitisme.
    Dans beaucoup de pays européens, les populations subissent des politiques d’austérité et des réformes réduisant les droits des travailleurs et leur protection sociale.
    La crise ne peut être le prétexte pour remettre en cause nos systèmes sociaux. Il faut une véritable politique de croissance, prenant en compte les enjeux écologiques, qui passe par
    l’amélioration du pouvoir d’achat et la création d’emplois.
    La pression sur les salaires et l’assouplissement des règles de licenciement ne peuvent que fragiliser la croissance économique.
    S’il y a un manque de compétitivité des entreprises, elle est notamment due à la rémunération
    excessive du capital au détriment de l’investissement dans l’emploi, la formation, la recherche et l’innovation.
    En ce 1er mai, nous voulons faire écho aux revendications portées par les salariés dans cette période de crise :
    --‐ priorité à l’emploi, en particulier des jeunes, alors que le nombre de chômeurs ne cesse
    d’augmenter depuis de longs mois et que les restructurations, les licenciements et les fermetures d’entreprises sont le quotidien de nombreux salariés,
    --‐ lutte contre la précarité qui touche un nombre croissant de salariés, en particulier jeunes et
    femmes, et provoque des situations de pauvreté intolérables ;
    --‐ la promotion des salaires et du pouvoir d’achat doit être une priorité. Il n’y a aucune raison
    de laisser les inégalités salariales perdurer, notamment entre les femmes et les hommes.
    Nous réaffirmons avec le syndicalisme européen notre opposition à ces politiques et au nouveau traité qui, en faisant l’impasse sur la croissance, ne fera que renforcer l’austérité et la crise.
    Nous voulons dans les mobilisations du 1er mai réaffirmer le besoin d’une Europe solidaire affirmant sa dimension sociale, ce qui impose de :
    - développer les droits des salariés et assurer des services publics de qualité,
    - mettre un terme à la concurrence sociale et fiscale entre pays de l’Union européenne qui tire les garanties des travailleurs vers le bas. Il faut une autre
    répartition des richesses et mettre un terme à la spéculation financière,
    - faire respecter la place et le rôle de la démocratie sociale, de la négociation collective et du dialogue social.
    A GAP
    RASSEMBLEMENT à 10h3O
    devant la Bourse du Travail.
    A BRIANCON
    RASSEMBLEMENT à 10h3O
    Place de l’Europe