Gap / Occitanie, le vendredi 11 janvier 2013
Marie, tu viens de t'en aller et je suis si malheureux.
Tu as été une femme simple et belle,
Joyeuse et conviviale,
d'une grande humilité,
si plaisante et sympathique.
Le sourire de tes yeux clairs,
Et la douceur de ta voix
Apportaient la bonne humeur
À tes amis, à tes parents.
Venue de ton Languedoc
Tu en avais de la langue la chaleur,
La clarté et la couleur.
Avec tes amis alpins
Tu es toujours restée ouverte
Et joviale, remplie de bonne volonté.
De Charance et du Queyras
Du Dévoluy, de l'Ubaye,
Tu connaissais toutes les fleurs.
Tu aimais les merveilles
Qu'apportait chaque saison,
Les petites fleurs roses du mélèze,
Les salades de toutes sortes,
Les baies de l'argousier,
De la myrtille, du mûrier
N'avaient pour toi aucun secret.
Ta nature était la bonne,
Celle qui nous sauvera.
Il nous faudra suivre ta route
Car tu avançais toujours droit.
La rectitude de ta vie
Ta belle générosité
Ta simplicité,
Ton humanité,
Ta si belle humilité
Et ta grande honnêteté
Nous montraient la voie à suivre.
Adieu, Marie,
Dire que tu vas nous manquer,
Est bien loin de la vérité.
Regarde-nous du paradis
Conseille-nous, console-nous,
Et laisse-nous l'espoir
De te rejoindre au grand pré vert.
Michel PRAT.
Marie, tu viens de t'en aller et je suis si malheureux.
Tu as été une femme simple et belle,
Joyeuse et conviviale,
d'une grande humilité,
si plaisante et sympathique.
Le sourire de tes yeux clairs,
Et la douceur de ta voix
Apportaient la bonne humeur
À tes amis, à tes parents.
Venue de ton Languedoc
Tu en avais de la langue la chaleur,
La clarté et la couleur.
Avec tes amis alpins
Tu es toujours restée ouverte
Et joviale, remplie de bonne volonté.
De Charance et du Queyras
Du Dévoluy, de l'Ubaye,
Tu connaissais toutes les fleurs.
Tu aimais les merveilles
Qu'apportait chaque saison,
Les petites fleurs roses du mélèze,
Les salades de toutes sortes,
Les baies de l'argousier,
De la myrtille, du mûrier
N'avaient pour toi aucun secret.
Ta nature était la bonne,
Celle qui nous sauvera.
Il nous faudra suivre ta route
Car tu avançais toujours droit.
La rectitude de ta vie
Ta belle générosité
Ta simplicité,
Ton humanité,
Ta si belle humilité
Et ta grande honnêteté
Nous montraient la voie à suivre.
Adieu, Marie,
Dire que tu vas nous manquer,
Est bien loin de la vérité.
Regarde-nous du paradis
Conseille-nous, console-nous,
Et laisse-nous l'espoir
De te rejoindre au grand pré vert.
Michel PRAT.
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Maria, venes de t'enanar e sieu tant malurós.
Erás una femna simple e polia,
Joiosa e conviventa,
d'una granda umilitat,
tant plasenta e simpatica.
Lo sorire de tos uelhs clars,
E la doçor de ta votz
Adusian la bòna umor
A tos amics, a tos parents.
Vengüa dau tieu Lengadòc
N'aviás de la lenga la chalor,
La clartat e la color.
Amb tos amics aupencs
Siás totjorn istaa doberta
E joviala e benvolenta.
De Charança e dau Cairàs
Dau Devorui, de la Valèia,
Coneissiás totas las flors.
Amavás las meravilhas
Qu'adusia chasca sason,
Las floretas ròsas dau merze,
Las ensaladas de totas menas,
Las baas de l'argosier,
De l'aisera, de l'amorier
Avián per tu ges de secret.
Ta natura era la bòna,
Aquela que nos sauvará.
Nos chaudrá seguir ta rota
Que chaminavás totjorn drech.
La rectituda de ta vita
Ta bela generositat
Ta simplicitat,
Ton umanitat,
Ta tant bela umilitat
E ta granda onestetat
Nos mostran la dralha de seguir.
A Dieu, Maria,
Dire que nos vas mancar,
Es luenh de la veritat.
Agacha-nos dau paradís
Conselha-nos, consola-nos,
E laissa-nos l'esper
De te rejónher au grand prat verde.
Micheu PRAT.
Gap / Occitanie, le vendredi 11 janvier 2013
Marie, tu viens de t'en aller et je suis si malheureux.
Tu as été une femme simple et belle,
Joyeuse et conviviale,
d'une grande humilité,
si plaisante et sympathique.
Le sourire de tes yeux clairs,
Et la douceur de ta voix
Apportaient la bonne humeur
À tes amis, à tes parents.
Venue de ton Languedoc
Tu en avais de la langue la chaleur,
La clarté et la couleur.
Avec tes amis alpins
Tu es toujours restée ouverte
Et joviale, remplie de bonne volonté.
De Charance et du Queyras
Du Dévoluy, de l'Ubaye,
Tu connaissais toutes les fleurs.
Tu aimais les merveilles
Qu'apportait chaque saison,
Les petites fleurs roses du mélèze,
Les salades de toutes sortes,
Les baies de l'argousier,
De la myrtille, du mûrier
N'avaient pour toi aucun secret.
Ta nature était la bonne,
Celle qui nous sauvera.
Il nous faudra suivre ta route
Car tu avançais toujours droit.
La rectitude de ta vie
Ta belle générosité
Ta simplicité,
Ton humanité,
Ta si belle humilité
Et ta grande honnêteté
Nous montraient la voie à suivre.
Adieu, Marie,
Dire que tu vas nous manquer,
Est bien loin de la vérité.
Regarde-nous du paradis
Conseille-nous, console-nous,
Et laisse-nous l'espoir
De te rejoindre au grand pré vert.
Michel PRAT."
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Maria, venes de t'enanar e sieu tant malurós.
Erás una femna simple e polia,
Joiosa e conviventa,
d'una granda umilitat,
tant plasenta e simpatica.
Lo sorire de tos uelhs clars,
E la doçor de ta votz
Adusian la bòna umor
A tos amics, a tos parents.
Vengüa dau tieu Lengadòc
N'aviás de la lenga la chalor,
La clartat e la color.
Amb tos amics aupencs
Siás totjorn istaa doberta
E joviala e benvolenta.
De Charança e dau Cairàs
Dau Devorui, de la Valèia,
Coneissiás totas las flors.
Amavás las meravilhas
Qu'adusia chasca sason,
Las floretas ròsas dau merze,
Las ensaladas de totas menas,
Las baas de l'argosier,
De l'aisera, de l'amorier
Avián per tu ges de secret.
Ta natura era la bòna,
Aquela que nos sauvará.
Nos chaudrá seguir ta rota
Que chaminavás totjorn drech.
La rectituda de ta vita
Ta bela generositat
Ta simplicitat,
Ton umanitat,
Ta tant bela umilitat
E ta granda onestetat
Nos mostran la dralha de seguir.
A Dieu, Maria,
Dire que nos vas mancar,
Es luenh de la veritat.
Agacha-nos dau paradís
Conselha-nos, consola-nos,
E laissa-nos l'esper
De te rejónher au grand prat verde.
Micheu PRAT.
Gap / Occitanie, le vendredi 11 janvier 2013
Marie, tu viens de t'en aller et je suis si malheureux.
Tu as été une femme simple et belle,
Joyeuse et conviviale,
d'une grande humilité,
si plaisante et sympathique.
Le sourire de tes yeux clairs,
Et la douceur de ta voix
Apportaient la bonne humeur
À tes amis, à tes parents.
Venue de ton Languedoc
Tu en avais de la langue la chaleur,
La clarté et la couleur.
Avec tes amis alpins
Tu es toujours restée ouverte
Et joviale, remplie de bonne volonté.
De Charance et du Queyras
Du Dévoluy, de l'Ubaye,
Tu connaissais toutes les fleurs.
Tu aimais les merveilles
Qu'apportait chaque saison,
Les petites fleurs roses du mélèze,
Les salades de toutes sortes,
Les baies de l'argousier,
De la myrtille, du mûrier
N'avaient pour toi aucun secret.
Ta nature était la bonne,
Celle qui nous sauvera.
Il nous faudra suivre ta route
Car tu avançais toujours droit.
La rectitude de ta vie
Ta belle générosité
Ta simplicité,
Ton humanité,
Ta si belle humilité
Et ta grande honnêteté
Nous montraient la voie à suivre.
Adieu, Marie,
Dire que tu vas nous manquer,
Est bien loin de la vérité.
Regarde-nous du paradis
Conseille-nous, console-nous,
Et laisse-nous l'espoir
De te rejoindre au grand pré vert.
Michel PRAT."
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Maria, venes de t'enanar e sieu tant malurós.
Erás una femna simple e polia,
Joiosa e conviventa,
d'una granda umilitat,
tant plasenta e simpatica.
Lo sorire de tos uelhs clars,
E la doçor de ta votz
Adusian la bòna umor
A tos amics, a tos parents.
Vengüa dau tieu Lengadòc
N'aviás de la lenga la chalor,
La clartat e la color.
Amb tos amics aupencs
Siás totjorn istaa doberta
E joviala e benvolenta.
De Charança e dau Cairàs
Dau Devorui, de la Valèia,
Coneissiás totas las flors.
Amavás las meravilhas
Qu'adusia chasca sason,
Las floretas ròsas dau merze,
Las ensaladas de totas menas,
Las baas de l'argosier,
De l'aisera, de l'amorier
Avián per tu ges de secret.
Ta natura era la bòna,
Aquela que nos sauvará.
Nos chaudrá seguir ta rota
Que chaminavás totjorn drech.
La rectituda de ta vita
Ta bela generositat
Ta simplicitat,
Ton umanitat,
Ta tant bela umilitat
E ta granda onestetat
Nos mostran la dralha de seguir.
A Dieu, Maria,
Dire que nos vas mancar,
Es luenh de la veritat.
Agacha-nos dau paradís
Conselha-nos, consola-nos,
E laissa-nos l'esper
De te rejónher au grand prat verde.
Micheu PRAT.
Gap / Occitanie, le vendredi 11 janvier 2013
Marie, tu viens de t'en aller et je suis si malheureux.
Tu as été une femme simple et belle,
Joyeuse et conviviale,
d'une grande humilité,
si plaisante et sympathique.
Le sourire de tes yeux clairs,
Et la douceur de ta voix
Apportaient la bonne humeur
À tes amis, à tes parents.
Venue de ton Languedoc
Tu en avais de la langue la chaleur,
La clarté et la couleur.
Avec tes amis alpins
Tu es toujours restée ouverte
Et joviale, remplie de bonne volonté.
De Charance et du Queyras
Du Dévoluy, de l'Ubaye,
Tu connaissais toutes les fleurs.
Tu aimais les merveilles
Qu'apportait chaque saison,
Les petites fleurs roses du mélèze,
Les salades de toutes sortes,
Les baies de l'argousier,
De la myrtille, du mûrier
N'avaient pour toi aucun secret.
Ta nature était la bonne,
Celle qui nous sauvera.
Il nous faudra suivre ta route
Car tu avançais toujours droit.
La rectitude de ta vie
Ta belle générosité
Ta simplicité,
Ton humanité,
Ta si belle humilité
Et ta grande honnêteté
Nous montraient la voie à suivre.
Adieu, Marie,
Dire que tu vas nous manquer,
Est bien loin de la vérité.
Regarde-nous du paradis
Conseille-nous, console-nous,
Et laisse-nous l'espoir
De te rejoindre au grand pré vert.
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